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27 mai 2016 5 27 /05 /mai /2016 15:29

Après quatre jours de débrayage, à l’initiative de la CGT, le mouvement social a pris fin à l’usine NPL (fabrication de pièces automobiles) de Gespunsart. Le conflit portait sur les négociations salariales. Un accord a finalement été trouvé alors que les grévistes (une grosse vingtaine, sur des effectifs de 140) avaient commencé, ce samedi matin, à bloquer l’usine en empêchant les camions d’entrer.

À partir du 1er juin, la direction appliquera une hausse générale des salaires à hauteur de 1%, assortie d’augmentations individuelles représentant 0,2% du montant global de l’enveloppe (les cégétistes étaient opposés aux augmentations individuelles, mais leur pourcentage a finalement été revu à la baisse par la direction).

L’accord permettra de revenir au calme alors des tensions de plus en plus fortes opposaient les salariés grévistes à ceux qui avaient décidé de continuer à travailler.

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26 mai 2016 4 26 /05 /mai /2016 22:01
Merci patron

Même si c'est gratuit, une caisse de solidarité avec les cheminots en lutte sera mise en place.

La CGT cheminot tiendra un barbecue de solidarité.

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26 mai 2016 4 26 /05 /mai /2016 15:06

Aisne : Depuis 5 heures du matin, la CGT a mis en place des barrages filtrants à l’entrée de Château-Thierry, plus précisément aux giratoires de l’A4 et de Bézuet. Un lieu stratégique pour distribuer près de 6 000 tracts et mobiliser les automobilistes à la grande manifestation annoncée le 14 juin prochain. Forcément cette action a perturbé la circulation surtout aux heures de pointe. Une longue file de voitures s’étendait de Bézu-Saint-Germain direction Château-Thierry et dans l’autre sens du quartier des Blanchards à l’accès à l’autoroute. La quarantaine de cégétistes devaient lever le dispositif en fin de matinée.

Ardennes : Des membres de la CGT ont mis en place, ce jeudi 26 mai, une distribution de tracts contre la loi travail à Nouzonville, dans les Ardennes. Ce barrage ralenti fortement la circulation sur la départementale 1 qui mène à Charleville-Mézières. Ce jeudi midi, une manifestation intersyndicale effectue un barrage filtrant au niveau du rond-point Unilin de Bazeilles, qui fait jonction entre la N43 et la D8043. Des salariés de nombreuses entreprises ardennaises comme Unilin, Faurecia ou Nexans sont présents. Au total, plus d’une centaine de personnes sont sur place. Elles distribuent des tracts aux automobilistes qui sont ralentis dès la sortie de Sedan. Plusieurs syndicats sont représentés, à savoir la CGT, Solidaires, la FSU et même quelques personnes de la CFDT. Le barrage filtrant devrait être levé à 14 heures.

Aube : voir article sur Nogent

Marne : 800 personnes ont défilé ce matin dans les rues de Reims contre la loi travail. CGT, FO (très peu nombreux), Solidaires, FSU (un peu plus que dans les manifs précédentes) et UNSA transports étaient présents dans les cortèges, ainsi que le Comité de lutte rémois. A noter la quasi absence de l’UNEF (c’est la période des examens…). Des chômeur-se-s, retraitées, salarié-e-s et des lycéen-ne-s ont convergé vers la Place des droits de l'homme où un blocage était prévu, mais pas besoin puisque la police avait bloqué tous les accès (et ils sont nombreux) aux véhicules à quelques centaines de mètres de la. Une partie de la manifestation s’est dirigée vers la Sécu et le rectorat, la place étant toujours bloquée par les flics. Un blocage du dépôt du tramway a eu lieu tôt ce matin jusque 9h.

Comme la veille, les opposants à la loi Travail ont bloqué les abords de l’aéroport de Paris Vatry, après avoir dormi sur place. FO et la CGT ont empêché les poids lourds de rejoindre la zone industrielle, grâce à un barrage filtrant. Toutefois tous les véhicules légers peuvent intégrer le site.

 

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26 mai 2016 4 26 /05 /mai /2016 14:27
Grève reconduite à Nogent

Les agents EDF sont mobilisés depuis 4 h, ce jeudi matin sur le site de la centrale nucléaire de Nogent-sur-Seine.

Selon la CGT, 200 personnes manifestent actuellement contre la loi Travail à 150 m de la Centrale EDF de Nogent-sur-Seine. Parmi eux des agents EDF CGT ou CFDT en grève depuis 21h mercredi soir et aussi des sous-traitants. Une trentaine de manifestants a également établi un barrage filtrant, toujours selon des sources syndicales.

Cet après-midi, les équipes de conduite poursuivent le mouvement de grève et maintiennent la baisse de charge, elle fonctionnerait à seulement à 25 % de ses capacités (minimum technique de production).

Les agents EDF ont décidé de reconduire la grève pour 24 h lors d’une assemblée générale en début d’après-midi. Les piquets de grève doivent être reconduits dans les mêmes conditions.

Vendredi matin : Après un arrêt automatique lundi, l’unité de production nº1 a été remise en service, mercredi, à 20h45, avant de monter progressivement en puissance. Jeudi matin, elle tournait à 50 %, n’alimentait pas encore le réseau national et n’était pas «manœuvrable». Aujourd’hui, les grévistes ne peuvent toujours pas baisser la charge de cette tranche pour des raisons techniques. Elle tourne donc à 100 %.

Grève reconduite à Nogent
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25 mai 2016 3 25 /05 /mai /2016 10:52
Grève à NPL Gespunsart

Le mouvement de grève, débuté lundi, se poursuit à l’usine NPL (fabrication de pièces automobiles) à Gespunsart, à l’initiative de la CGT.

En cause : des désaccords avec la direction sur les modalités des augmentations salariales. Les grévistes réclament 1,2 % d’augmentation générale, alors que la direction propose 0,9 % d’augmentation générale, plus 0,3 % sous forme, cette fois, d’augmentations individuelles. À cela s’ajoutent des craintes sur l’avenir de l’entreprise et d’une éventuelle vente.

Le dialogue est pour le moment rompu entre la CGT et la direction.

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25 mai 2016 3 25 /05 /mai /2016 10:34
Centrale de Chooz : pas d'arrêt

Le délégué CGT à Chooz confirme que le syndicat départemental était solidaire du mouvement et de son durcissement à la centrale nucléaire de Nogent-sur-Seine dans l’Aube.

Pour autant, l’heure n’est pas à l’arrêt du côté du site de production d’électricité des Ardennes. Les responsables du premier syndicat du site nucléaire ont malgré tout décidé de mettre en place une action de communication dès demain matin à l’entrée du site. Pas question de barrage filtrant mais plus d’un ralentissement des véhicules entrant dans l’usine. Reste simplement à déterminer au cours de la journée si l’action sera menée uniquement par la CGT ou si le personnel se joindra à elle.

Il s’agit d’attendre les consignes de la CGT nationale pour durcir ou non le ton ce qui reste envisagé à Chooz si les représentants syndicaux n’étaient pas entendus du gouvernement. Car le mouvement s’inscrit clairement contre la réforme de loi travail. L’assemblée générale prévue demain ou au plus tard vendredi matin donnera ainsi les grandes lignes du mouvement national dans les prochains jours.

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25 mai 2016 3 25 /05 /mai /2016 10:01
Loi travail : vers un arrêt total de production à la centrale de Nogent

La contestation contre la réforme du Code du travail va-t-elle ralentir la production d'électricité en France ?

“C’est en ce moment que se joue le sort du [projet de] loi travail, donc c’est maintenant qu’il faut agir. Jeudi, nous appelons donc le personnel à participer au mouvement et à faire monter la pression, que ce soit par des baisses de charge ou des coupures sur le réseau. Des coupures électriques ont déjà eu lieu aujourd'hui (mardi) dans plusieurs quartiers de Nantes ainsi que dans le plus grand centre commercial d'Europe à Marseille, mais les baisses de charge pourraient être plus importantes jeudi”, argumente la porte-parole de la fédération CGT-Energie. Certaines sections FO s’associent à ce mouvement.

Au RTE, les salariés ont su une nouvelle fois se faire entendre avec plus de 33 % de grévistes et en intervenant sur l’outil de travail pour s’opposer à l’ouverture du capital. Des lignes 63 et 220kV ont été coupées, ainsi 17 500 foyers Nantais ont goûté avant l’heure aux conséquences de la déréglementation à venir, avec une rupture d’alimentation électrique...

Dans le sillage des blocages de raffineries et de dépôts de carburants, qui provoquent un début de pénurie dans les stations-service, les salariés de la centrale nucléaire de Nogent-sur-Seine (Aube), réunis en assemblée générale mardi 24 mai, ont voté le principe d’une action forte à partir de mercredi à 22 heures (grève et arrêt de la production d'électricité).

"Notre but n'est pas de faire tomber le réseau, mais on passe au cran supérieur. La baisse de charge pourrait conduire à l’arrêt des deux réacteurs", assure Arnaud Pacot, le secrétaire général du syndicat CGT-Energie de l'Aube.

Lorsqu'elles fonctionnent normalement, les deux tranches nucléaires de la centrale produisent 2 600 mégawatts, précise le syndicaliste. Les grévistes veulent faire tomber la production à zéro. La procédure de relance des réacteurs dure entre 3 et 5 jours, selon Arnaud Pacot.

Un barrage filtrant va être mis en place jeudi, dès 5 heures du matin. Les équipes de conduite des unités de production prennent, en effet, leur poste à 6 h. C’est à ce moment-là, jeudi, que les agents décideront s’ils engagent ou non une baisse de charge qui ne sera possible que “si la tranche est manœuvrable”.

L’unité de production nº1, en arrêt depuis mardi suite à un défaut technique en dehors de la partie nucléaire, pourrait redémarrer normalement ce mercredi. “On fera en sorte de ne pas le redémarrer. Quant au réacteur n°2, il y aura une baisse de charge, avec l'idée de l'arrêter totalement”. La mise à l’arrêt est d’autant plus médiatique et sensible qu’il s’agit de la centrale la plus proche de Paris. L’impact des perturbations sur le réseau électrique était mardi soir imprévisible.

Arnaud Pacot ajoute que la centrale avait déjà connu des baisses de charge "de l'ordre de 15 à 30 %" lors des précédentes journées d'action contre la loi Travail. Les précédentes journées de grève contre le projet de loi El Khomri se sont déjà traduites par des baisses de charges cumulées de 10 000 à 13 000 mégawatts dans les centrales nucléaires françaises, avance le dirigeant syndical.

Ce n’est sans doute pas un hasard si c’est la CGT-Energie de l'Aube qui a pris la décision de l’arrêt de production d’une centrale nucléaire. Ses positions très revendicatives, en particulier vers les trimardeurs du nucléaire, pour lesquels elle demande l’application pleine et entière de la convention collective applicable aux travailleurs d’EDF, font souvent grincer des dents la Fédération CGT-Energie.

Dernière minute : la direction précise que les grévistes qui sont d’astreinte sont tenus de venir sur site en cas de besoin. Il faut aussi savoir qu’EDF a la possibilité de réquisitionner des salariés grévistes dans le secteur du nucléaire. L’entreprise l’avait fait au moment du mouvement de grève en 2009. Toujours selon la direction, l’unité de production nº1 pourrait redémarrer normalement ce mercredi.

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24 mai 2016 2 24 /05 /mai /2016 14:00

La tension monte chez Habitat 08, une centaine de salariés du bailleur social ardennais sont en grève ce mardi matin. Ils ont manifesté devant le siège à Charleville-Mézières, siège où se tient un conseil d'administration.

Ce conseil d’administration doit entériner le licenciement du directeur général accusé de mauvaise gestion et d’une relation exécrable avec la présidence. Selon un récent rapport, le bailleur serait à la dérive, les rénovations sont en retard et les salariés excédés.

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24 mai 2016 2 24 /05 /mai /2016 13:43

Un plan de sauvegarde de l’emploi (PSE) serait envisagé au sein d’Arcelor Mittal Construction France (AMCF), à Bazeilles, selon le syndicat FO. Il concernerait 17 emplois. Des négociations sont en cours ce mardi.

«Le PSE concerne 17 postes pour une entreprise qui compte 37 salariés, dont deux en longue maladie avec une mise en place au 15 juin 2016. En fait, seule l’activité de profilage est conservée dans son entièreté soit 18 personnes. Un mouvement de grève est envisagé pour jeudi.»

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23 mai 2016 1 23 /05 /mai /2016 10:11

Le tribunal de commerce de Meaux a retenu l’offre de Perceva pour la reprise de Cauval, ce lundi matin.

Le fonds d’investissement ou retournement bénéficiait du soutien de l’écrasante majorité des comités d’entreprise du groupe qui ont voté en faveur de son offre. «Ce projet n'aurait pas pu voir le jour sans le soutien de l'ensemble des salariés qui ont fait prendre d'un courage et d'une dignité exemplaire, à l'heure de choix difficiles et décisifs. Nous tenons à les saluer et à les remercier de leur confiance».

Le fonds souhaite reprendre 1 445 emplois sur les 1 661 actuels, dont une très grande partie des 460 salariés baralbins. Sur le plan financier, Perceva indique vouloir investir «70 millions d’euros, dont 40 millions de fonds propres».

«Dans l'immédiat nous allons tous ensemble nous mobiliser afin d'honorer les commandes de la saison et nous attacher à permettre au groupe de devenir rapidement le référent de son secteur pour l'ensemble de ses partenaires».

Le fonds ne s’est pas appuyé sur les cadres de Cauval dont il a clairement pointé la responsabilité dans la situation actuelle. Il a préféré s’appuyer sur deux anciens dirigeants, Alain Boussuge (ex-directeur de Simmons et Dunlopillo) et François Duparc (ex-directeur commercial et marketing de Dunlopillo et Treca).

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20 mai 2016 5 20 /05 /mai /2016 09:18
Loi travail : hier dans la presse locale

Aisne : Hier entre 11h à 13h, des salariés de l’entreprise agro-alimentaire Materne ont procédé à un débrayage contre la loi travail à l’appel de l’intersyndicale CGT, FO, FSU, Solidaires, UNEF, UNL, et FIDL. Et ce dans le cadre d’un mouvement de mobilisation national contre la réforme El-Khomri. Après avoir quitté l’usine bouésienne, les salariés ont investi les carrefours aux alentours afin de distribuer des tracts aux automobilistes mais sans bloquer la circulation. C’est Françoise Devaux, membre de la CGT d’Hirson, qui était la coordonnatrice de ce mouvement. D’après Franck Dursent, délégué syndical CGT chez Materne, près de 60 % des ouvriers de production du poste du matin ont participé à cet arrêt de travail. En fin d’après-midi, 150 personnes environ ont manifesté à Laon contre la loi El Khomri, avec un rassemblement devant la préfecture. Une manifestation organisée par l’union locale de la CGT de Soissons s’est déroulée ce jeudi à 14 heures place de la République à Soissons. Elle a réuni une soixantaine de manifestants qui se sont répartis autour du rond-point pour filtrer la circulation et distribuer des tracts. Ils demandent le retrait du projet de la loi travail.

Ardennes : La manifestation contre la loi Travail a pris une tournure spéciale hier à Charleville-Mézières. La CGT a bloqué la voie 1 à la gare et opéré des barrages filtrants. Aux alentours de 16 heures, hier les manifestants de la CGT sont descendus sur les rails de la voie 1 à la gare de Charleville-Mézières. Ils ont perturbé un trafic SNCF déjà très réduit à cause des grèves. Le train de 16 h 31 en direction de Sedan a été annulé, entraînant des retards sur cette ligne. Les manifestants, une centaine, ont dû être délogés par les forces de l’ordre. Une vingtaine de policiers et de gendarmes étaient venus en renfort pour dégager cette voie. De plus, vers 14 heures, les cégétistes ont opéré des barages filtrants à l‘avenue Jean-Jaurés à l’hauteur de la statue de Charles de Gonzague. La manifestation contre la loi Travail a pris en effet une tournure spéciale hier. Pour montrer leur désaccord contre la Préfecture des Ardennes, les manifestants de la CGT n’ont pas respecté leur itinéraire de manifestation. En effet, selon les cégétistes, un employé de la préfecture les aurait empêché d’exercer leur droit légal à manifester jeudi dernier. «Une personne de la Prefecture est descendue à la rocade où on opérait un barrage filtrant. Il nous en a empêché alors que c’était prévu. Il a commencé à nous donner des ordres. Nous sommes très en colère contre cette attitude. En revanche, nous n’avons rien contre la police qui est respectueuse», explique Irvin Buchemeyer, de la CGT Tarkett de Sedan. «Au départ, cela devait être une manifestation statique devant le parvis de la gare. Là, les manifestants déambulent selon un itinéraire indéfini», commente le commissaire Eric Krust. Les syndicalistes ont manifesté durant environ cinq heures. Ils ont emprunté les grands axes du chef-lieu, le cours Briand, l’avenue Corneau, l’avenue Jean-Jaurés. Ils ont opéré deux barrages filtrants, à l’avenue Jean-Jaurès et devant la gare. «Nous avons distribué des tracts à la population. On est conscient qu’on les embête. C’est la raison pour laquelle on explique notre opposition à cette loi Travail», explique Irvin Buchemeyer. Nous avons interrogé la Préfecture des Ardennes, sans succès. Les manifestants venaient de toutes les Ardennes.

Aube : À Troyes, près de 500 personnes selon la police, 600 selon les syndicats, se sont rassemblées ce jeudi à Troyes pour manifester contre la loi Travail. À Bar-sur-Aube, 150 personnes ont répondu à l’appel des syndicats. À Romilly-sur-Seine, une soixantaine de personnes, à l'appel de la CGT, ont défilé jeudi au centre-ville, contre la loi Travail.

Marne : Les syndicats et la jeunesse ont fait front ce jeudi contre le projet de loi El Khomri. Tout au long de cette journée de mobilisation, plus de 1000 personnes se sont rassemblées à Reims. Ce jeudi midi, dans le cadre de la mobilisation contre le projet de loi Travail, les manifestants se sont rendus à la gare de Reims. Positionnés sur les voies, ils ont bloqué l'accès aux TGV et perturbé le trafic.

Sources : L'Union, L'Est éclair, France 3 Champagne Ardenne

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17 mai 2016 2 17 /05 /mai /2016 09:40

C'est une action organisée à l'initiative des syndicats FO et CGT. Comme sur plusieurs sites en France, les routiers ont rejoint le mouvement de grève nationale de protestation contre le projet de loi travail. Depuis ce matin, plusieurs barrages ont été mis en place en France.

En Champagne-Ardenne, il n'y aurait que Saint-Martin-sur-le-Pré. Une centaine de chauffeurs routiers sont sur le site de la zone d'activité depuis 5h00 ce matin. Les arrivées et départs des camions sont bloqués par les grévistes mais pas les voitures.

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