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31 mars 2025 1 31 /03 /mars /2025 22:53
20250331 Grève victorieuse à Géodis

Le mardi 18 février 2025, les ouvrier-e-s de l’entrepôt Géodis à Gennevilliers, ont commencé une grève reconductible pour les salaires et la dignité. Lors des négociations annuelles, la direction avait proposé des augmentations ridicules alors que Géodis, filiale privatisée de la SNCF, est le leader de la logistique en France et que ce secteur est en plein boom. Un lieu central pour la circulation des flux en Île-de-France. Le mardi 11 mars 2025, une grande fête de la victoire se tenait sur le piquet, au cœur du Port de Gennevilliers.

Dans l’émission de ce jour, nous entendrons l’entretien réalisé sur le piquet de grève début mars avec une salariée, qui nous parlera des motifs de cette grève et nous poursuivrons avec la soirée du 11 mars et la signature victorieuse de cette grève et les diverses prises de parole et interview réalisé ce même jour.

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11 mars 2025 2 11 /03 /mars /2025 07:12
20250310 La situation au Bénin

Nous recevons deux militants de la diaspora béninoise, Eugénie et Commelin. Tous deux membres de l’UAPDB (Unité d’Action Patriotique de la Diaspora du Bénin), ils sont venus dénoncer la mainmise de l’impérialisme français sur toutes les sphères de la société béninoise, avec la bénédiction du président Patrice Talon.

Depuis 2019, le Bénin est devenu un territoire stratégique pour les militaires français ayant quitté les pays du Sahel (Burkina Faso, Niger, Mali…), rendant le pays encore plus instable. Le 8 janvier 2025, un attentat a fait plus d’une trentaine de morts parmi les militaires Béninois, mais le président Talon refuse de faire la lumière sur cette affaire. 

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3 mars 2025 1 03 /03 /mars /2025 19:19
20250303 Vie chère à la Martinique : l’Action de Zot Pa Sèl

Zot Pa Sel est un des collectifs qui s’investit dans la mobilisation contre la vie chère à la Martinique. Depuis plusieurs mois, ils ont initiés un combat juridique en assignant GBH (Groupe Bernard Hayot) pour non publication de comptes, et lance une plainte collective contre X pour abus de position dominante. Mais cela n’est pas leur seul combat. Persuadés que c’est le système de la grande distribution qu’il fait démanteler, ils s’investissent avec de nombreux collectifs environnementaux et d’ouvriers agricoles afin de réfléchir à un autre modèle de production alimentaire, qui permette de développer l’autonome de la Martinique tout en préservant a culture et son environnement.

C’est l’entretien que nous avons réalisé avec Jérémie, membre de Zotpasel que nous diffusons aujourd’hui dans l’intégralité de notre émission.

https://audio.radioprimitive.fr/egregore/20250303-egregore-vie-chere-a-la-martinique-l-action-de-zot-pa-sel.mp3

https://www.lechatnoir51.fr/03/20250303-vie-chere-a-la-martinique-l-action-de-zot-pa-sel.html

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11 février 2025 2 11 /02 /février /2025 09:39
20250210 FSO, Fret SNCF…

Depuis le 7 novembre, les conducteurs de bus du dépôt de bus de Saint-Ouen-l’Aumône sont en grève pour protester contre la dégradation marquée de leurs conditions de travail. Tenu durant 50 ans par la STIVO (Syndicat des Transports Interurbain du Vald’Oise) en association avec la RATP, elle a été reprise en intégralité par cette dernière et ceux en droit privé. Depuis, le climat social est devenue délétère: une partie des primes y ont été supprimé, l’avancement n’existe plus, l’ensemble des conducteurs quelque soit leur ancienneté est payés au SMIC, et l’amplitude horaire peut allé jusqu’à 14h. Depuis, le début de cette gréve, le réseau est maintenu difficilement par des intérimaires et très peu de bus circulent. Cependant, les quasi 500 conducteurs n’ont pas vu de volonté de négociation de la part de l’employeur. La médiation proposé par les autorités n’est accepté qu’à reculons de la part de RATP DEV. Nous vous diffusons donc dans une première partie d’émission, un entretien réalisé avec l’un des grévistes.

Les fédérations CGT Cheminots, SUD Rail et dans une moindre mesure Unsa Ferroviaire et CFDT Cheminots s’opposent aux projets en cours, considérés comme une privatisation rampante du groupe, suite à la contre-réforme du ferroviaire de 2018. Ils demandent l’arrêt de la scission de Fret SNCF qui doit intervenir à partir du 1ᵉʳ janvier 2025 avec la création de deux entreprises, Hexafret dédié au transport de marchandise et Technis pour la maintenance des locomotives, avec une réduction de 10 % des effectifs à la clé. Vous entendrez donc les prises de paroles de l’assemblée générale qui se tenait gare du Nord le 21 novembre dernier et un entretien réalisé avec un agent commercial de la ligne B.

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3 février 2025 1 03 /02 /février /2025 19:14
20250203 La lutte du peuple Wet’suwet’en

Le 4 décembre 2024, à la Parole errante à Montreuil, s’est déroulée une soirée de soutien à la lutte du peuple Wet’suwet’en, avec la projection d’un film documentaire relatant leur lutte contre le pipeline Coastal GasLink, au Canada. Était présente, Sleydo’, l’une des cheffes de Cas Yikh et porte-parole du point de contrôle de Gidimt’en, ainsi qu Freda Huson, qui est la conjointe du chef Howilhkat et la coordinatrice du camp Unist’ot’en. Aujourd’hui, nous allons vous faire écouter un interview qui présente cette lutte et son historicité et le montage d’interventions choisies, suite à la projection de ce film. Cette émission est réalisée avec la collaboration de l’émission Zoom écologie.

 

 

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20 janvier 2025 1 20 /01 /janvier /2025 19:02
20250120 Martinique luttes contre la vie chère

Aujourd’hui, dans cette émission, nous revenons sur l’actualité en Martinique. Dans un premier temps, vous pourrez écouter l’émission faite par le Canard réfractaire que nous saluons et dans un deuxième temps, vous écouterez le reportage que nous avons réalisé en nous rendant à la manifestation Parisienne du 11 janvier à la gare Montparnasse en soutien à la lutte contre la vie chère et pour demander la libération du «R», de Rodrigue Petitot, président du Rpprac, le Rassemblement Pour la Protection du Peuple et des Ressources Afro-Caribéennes.

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3 décembre 2024 2 03 /12 /décembre /2024 09:36
Valéo va licencier 868 personnes, dont 97 à Reims

De SAFF à Valéo («Je vais bien» en latin)

Fleuron de l'industrie rémoise pendant des décennies, Chausson Outillages s'est éteint en 2007, après cinquante années passées à fabriquer des pièces de carrosserie pour les géants de l'automobile. Un clap de fin durement vécu à l'époque par les 184 salariés encore en poste au sein des locaux situés rue du Colonel-Charbonneaux, dans la zone industrielle Colbert. Victime comme d'autres d'une concurrence devenue mondiale, l'usine rémoise a tout de même compté jusqu'à 1 500 salariés dans les années 1970.

Eugène Buisson est depuis 1910 le distributeur et agent exclusif en France des produits de friction de la société anglaise Ferodo (Ferodo ltd). Il dépose des brevets d'inventions en 1922 et, en 1923, il crée la Société anonyme française du Ferodo (SAFF) et ouvre une usine à Saint-Ouen pour produire des garnitures de freins et d’embrayages sous licence de Ferodo. La société absorbe, en 1927, la filature d'amiante de Condé (Normandie). En 1928, elle fusionne avec La Plastose, son fournisseur de résines phénoliques et poudres de moulage, qui possède des usines à Niort, Saint-Ouen et Cahan en Normandie. La SAFF internalise ainsi la chaîne complète de fabrication de garnitures de freins : les tissus d'amiante sont imprégnés de vernis à base de résines phénoliques et sont façonnés pour former des garnitures tissées. En 1934, la SAFF absorbe son concurrent fabricant de garnitures Flertex, dont l'usine est située à Épinay-sur-Seine.

En 1932, la société dirigée par Jacques Vandier «élargit son activité à la production d’embrayages et la SAFF entre en bourse». La SAFF poursuit sa croissance externe, et acquiert en 1943, le site de Rochefort-Andouillé (Mayenne) de la Compagnie française de l'amiante du Cap, créée par Frédéric Chaplet, dont l'activité de filature de tissus d'amiante est transférée en 1953 à Condé-sur-Noireau (Normandie). En 1952 est créée l'Union de Fabricants de garnitures (UFAGA) pour réunir deux acquisitions récentes de concurrents, Hersot et Nafra, spécialisés dans les garnitures de freins. La SAFF achète la Société française de l'amiante à Viry-Châtillon en 1956. Ainsi, «dans les années 50, l’entreprise se modernise et se développe hors de la région parisienne en construisant de nouvelles usines, notamment en Normandie (garnitures de friction) et à Amiens (embrayages). En 1953, l’entreprise a 30 ans. Les embrayages, dont la technologie est en constante évolution, deviennent sa première activité.»

À partir des années 1960, la société commence à se diversifier : systèmes thermiques (1962), composants, systèmes et équipements électroniques (1963), éclairage et systèmes électriques (à partir de 1970). Ces développements se font notamment par la prise de contrôle de groupes eux-mêmes déjà importants et parfois diversifiés comme Paris-Rhône (équipements électriques), SEV Marchal (éclairage, équipements électriques, essuyage), Cibié (éclairage, signalisation), Ducellier (éclairage, équipements électriques, essuyage), Chausson thermique (chauffage et refroidissement), Neiman (sécurité, éclairage, signalisation) ou Labinal (équipements électriques). Elle se lance aussi dans des activités hors automobile (éléments de construction préfabriqués, ponts pour véhicules utilitaires) par la prise de contrôle d'entreprises spécialisées, mais, après plusieurs années de volonté d'intégration, ces activités ont été cédées.

Le 28 mai 1980, la société prend le nom de Valeo («Je vais bien» en latin), ce nom étant à l'époque celui de la filiale italienne du groupe SAFF et hors du secteur automobile. En 1986, l'ingénieur Carlo De Benedetti, par l'intermédiaire de son groupe CIR, prend le contrôle de Valeo pour un montant de cent milliards de lires, attirant l'attention du monde industriel et financier italo-français. De Benedetti aurait empêché un renforcement de la position allemande dans Valeo, un problème, selon les articles de l'époque, étant donné les fortes relations industrielles entre Valeo et le groupe FIAT, l'un de ses principaux clients. Dix ans plus tard, en 1996, le groupe De Benedetti doit céder Valeo au français CGIP, sous la pression de ses principaux clients, Peugeot-Citroën et Renault, pour un montant d'environ 2 000 milliards de lires. Une opération réalisée à un moment où quasiment aucune entreprise européenne du secteur n'était en mesure de racheter Valeo : l'allemand Bosch en raison de la législation anti-monopole, le britannique Lucas en raison de ses problèmes financiers. Seuls deux grands groupes, tous deux américains, étaient intéressés : la filiale composants de General Motors et TRW, à l'époque leader mondial dans la fabrication d'airbags. Les constructeurs français y ont cependant opposé leur veto, menaçant de retirer Valeo de leur liste de fournisseurs en cas de passage aux mains d'une entreprise américaine.

Le 17 décembre 2008, Valeo annonce qu'il va supprimer 5 000 emplois dans le monde ; dont 1 600 en France. En décembre 2015, Valeo rachète les entreprises allemandes Peiker et Spheros. Le 31 octobre 2017, Valeo réalise l'acquisition de FTE pour 819 millions d'euros, une entreprise allemande spécialisée dans la production de boîte de vitesses. Valeo a, par ailleurs, annoncé la signature d'un accord avec Siemens pour le rachat de la participation de 50 % détenue par Siemens dans Valeo Siemens eAutomotive. Après le 1er juillet 2022, Valeo intégrera 100 % de Valeo Siemens eAutomotive au sein de son activité Systèmes de Propulsion.

En janvier 2024, le groupe Valeo annonce vouloir supprimer 1 150 postes dans le monde dont 735 en Europe et 235 en France. En novembre 2024, Valeo annonce une réduction encore plus importante de ses effectifs : 866 postes seront supprimés et deux sites fermés. Le bilan pourrait même atteindre près de 1 300 suppressions de poste si les salariés refusent certaines mobilités, selon Force Ouvrière.

Débrayage chez Valeo à Reims contre l’augmentation du temps de travail

Depuis le 24 octobre, une majeure partie des salariés titulaires, 90 % d’entre eux d’après l’intersyndicale, débraye pour s’opposer aux nouvelles conditions de travail mises en place par la direction. Cet allongement du temps de travail aurait été mis en place à la suite d’un problème de pièces défectueuses, qui pourraient présenter un risque auprès des constructeurs automobiles. Outre leurs huit heures de travail effectif par jour, ces salariés de l’équipementier automobile doivent effectuer des heures supplémentaires tous les jours, même sur leur jour de repos du lundi et pendant le week-end pour certains. Il leur a aussi été demandé de travailler les 1er et 11 novembre, jours fériés. Pour compenser, les grévistes souhaiteraient une prime de 150 euros par mois jusqu’à la fin de cette période d’efforts et une prime de 500 euros en fin d’année. Mais la seule contrepartie proposée par la direction serait de revaloriser de dix euros le montant mis à disposition des équipes pour le repas de fin d’année, qui passerait à 30 euros par salarié.

L’amiante, l’autre sujet qui fâche

Alors que 398 salariés et ex-salariés rémois de Valeo espéraient que leur exposition à l’amiante sur leur lieu de travail entre 1960 et 1997 soit enfin reconnue, le conseil des prud’hommes de Rambouillet en a récemment décidé autrement. Il a été considéré que la reconnaissance du préjudice d’anxiété demandée par les plaignants ne pouvait être actée, car ils ont engagé leur procédure judiciaire après le délai de prescription qu’ils devaient respecter. Les intéressés contestent et comptent faire appel de cette décision.

97 emplois du site rémois vont être supprimés

97 des 323 emplois du site rémois de Valeo vont être supprimés «d’ici quelques mois», a-t-on appris de source syndicale, mercredi 27 novembre 2024. À l’aube du XXIe siècle, le site rémois spécialisé dans les systèmes électroniques et d’éclairage comptait près de 2 000 salariés. Dix fois plus que ceux qui devraient subsister d’ici quelques mois. «On va devenir un désert industriel…», soupire encore notre interlocuteur.

Les salariés ont bien coché dans leur agenda la date du mercredi 11 décembre où débuteront, sur le site de Valeo Reims, les négociations avec la direction et où devraient être connus précisément les postes menacés. D’ici là, aucune action concrète n’est prévue par les syndicats.

 

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3 décembre 2024 2 03 /12 /décembre /2024 08:15
Grève chez Walor, rachat et licenciements

Walor, qui appartient depuis fin 2023 au groupe allemand Mutares, a repris en novembre 2018 les ex-Ateliers des Janves à Bogny-sur-Meuse et AMI à Vouziers, alors en dépôt de bilan. Moins d’un an après le rachat du fabricant de pièces automobiles par le fonds d’investissement allemand Mutares, les dirigeants demandent l’ouverture d’un plan de sauvegarde pour le site de Bogny-sur-Meuse (Ardennes) qui compte 127 salariés, et le placement en redressement judiciaire pour l’unité de Vouziers (Ardennes) et ses 90 employés. Face à l'avenir incertain de l'usine métallurgique Walor, dont deux des sites sont dans les Ardennes, à Vouziers et Bogny-sur-Meuse, des salariés sont entrés en grève jeudi 4 avril. La grève n’a pas été suivie par la CGT.

Alors que l’usine Walor passait le lundi 23 septembre 2024 au tribunal de commerce de Sedan afin d’évoquer l’avenir des deux sites ardennais, il avait été décidé, à l’issue de cette audience, que le site de Vouziers était placé en redressement judiciaire pour une durée de six mois.

Le mercredi 13 novembre, les syndicats CGT (majoritaire à Bogny-sur-Meuse) et CFDT (majoritaire à Vouziers) ont lancé un nouvel appel à la grève pour les salariés des usines Walor.

Lundi 25 novembre, le tribunal de Sedan a acté le rachat des deux sites de Vouziers et Bogny-sur-Meuse par Forgex. À l’heure actuelle, 101 salariés restent, et 102 sont licenciés, stipule la délibération. Seul repreneur sur les rangs, Forgex est officiellement le nouveau propriétaire des usines Walor de Vouziers et Bogny. les deux usines sont cédées à l’euro symbolique, ce que les mandataires judiciaires retenus pour Vouziers ont trouvé «choquant», sans plus de détails.

Les salariés, chez qui la colère ne faiblit pas, ont décidé de reconduire leur mouvement de grève. Ils sont en colère car la prime supra-légale de licenciement proposée atteint le montant de 7 000 euros. Les salariés de Bogny-sur-Meuse, qui n’ont d’ailleurs toujours pas signé d’accord majoritaire pour le PSE, contrairement à ceux de Vouziers. Ils jugent la prime supralégale versée par Walor bien insuffisante au regard du pouvoir financier du groupe et de sa holding, Mutares.

Le 29 novembre 2024, les salariés de l’usine Walor étaient invités à un entretien préalable à leur licenciement, ou leur conservation.  Un des dirigeants de Forgex est venu à leur rencontre, indiquant au délégué syndical de la CGT qu’il n’avait plus droit de cité dans l’entreprise, sauf à l’intérieur du local syndical.

 

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4 novembre 2024 1 04 /11 /novembre /2024 19:09
20241104 Le SNU 5 ans après

Le Service national universel (SNU) est un programme mis en place par le Premier ministre français Édouard Philippe à partir de 2019. Le SNU vise, selon la communication du Gouvernement, à proposer «un moment de cohésion visant à recréer le socle d’un creuset républicain et transmettre le goût de l’engagement», à «impliquer la jeunesse française dans la vie de la Nation» et à «promouvoir la notion d’engagement et favoriser un sentiment d’unité nationale autour de valeurs communes».

Un rapport de la cour des comptes sur le SNU dit que c’est un gouffre financier, Lors du débat parlementaire sur le budget, certain-e-s demandent sa disparition. Pour parler de l’idéologie du service national universel, nous sommes en compagnie de Cassandre et Irène, du collectif non au SNU.

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28 octobre 2024 1 28 /10 /octobre /2024 19:04
20241028 STOP MINE ALLIER ET AILLEURS

Par le projet d’extraction de lithium, du producteur au consommateur, mine et usine de broyage, canalisations sur 15 km jusqu’au quai de chargement, puis transport jusqu’à l’usine de raffinage et pour finir convoyage jusqu’aux usines «giga-factories» (comprendre la fabrication de batteries), le département de l’Allier devient, sans le vouloir, le laboratoire des futurs projets miniers, dans un emballement de l’extractivisme décomplexé européen et mondial.

Pour parler de la lutte contre le projet d’ouverture de mine de lithium dans l’Allier, nous sommes en compagnie de Dominique, membre de l’association collégiale Stop mines 03

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19 août 2024 1 19 /08 /août /2024 19:41
20240819 Massif attaque : rassemblement de la SGT 1

Les 20 et 21 avril dernier, était organisé le rassemblement du Syndicat des Gardien.nes de Troupeaux à Batsere dans les Pyrénées. Le SGT est un syndicat d’ouvrier.es agricoles qui exercent les métiers de berger.es, vacher.es et chevrier.es dans les alpages. En lutte contre le patronat agricole qui les exploite, ils et elles se battent pour faire appliquer le code du travail jusque dans leurs montagnes et en finir avec les idées reçues sur le métier de berger. Les Syndicats CGT des Gardien.nes de Troupeaux ont donc entamé un bras de fer face à la FNSEA afin de faire entendre ses revendications.

A l’occasion de ce week end, le syndicat a ou organiser plusieurs temps d’échange, notamment un avec Jocelyne Porcher autour de la question ”du bien être” animal. C’est l’échange que nous avons choisi de vous diffusez dans cette émission, précédée d’une interview des camarades de la SGT.

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12 août 2024 1 12 /08 /août /2024 18:18
20240812 Situation en Kanaky

Une pause dans le feuilleton de l’été.

Dans cette émission, nous recevons Julie du collectif Solidarité Kanaky avec qui nous reviendrons sur la lutte d’indépendance du peuple Kanak et sur la répression qu’il subit.

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