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18 octobre 2013 5 18 /10 /octobre /2013 21:00

Manif-Cartier-20131018.jpg43 des 70 salariés grévistes de Cartier Joaillerie International à Reims sont partis en car, vendredi matin, de la zone Farman. Direction le 13 rue de la Paix, la très prestigieuse adresse parisienne du joaillier Cartier, où ils ont, une nouvelle fois, réclamé une augmentation de salaire de 200 euros nets.

«Les négociations entamées depuis mardi n’ont pas abouti. Nous voulons donc taper plus haut. Nous sommes payés au Smic alors que le groupe se porte très bien !».

La direction «fait part de sa forte déception et de son incompréhension après l’échec des discussions», d’autant qu’elle a «fait des propositions d’augmentation très significatives des rémunérations. Ces propositions se traduisent, dès janvier prochain, à des niveaux de salaires supérieurs de près de 40 % au cadre de la convention collective de la BJO qui régit le secteur».

Elle fait aussi savoir que si les ouvriers parisiens sont mieux payés que les rémois, c’est parce qu’ils ont des qualifications supérieures.

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3 juillet 2013 3 03 /07 /juillet /2013 09:02

Les sapeurs-pompiers professionnels de l'Aisne se sont mobilisés vendredi soir devant la caserne de Saint-Quentin, afin de dénoncer l'application de la réforme de la filière dans le département.

Certains gradés pourraient perdre une partie de leurs attributions sur le terrain si la réforme est appliquée. «Par exemple, alors que j'y suis autorisé actuellement, je n'aurai plus le droit de prendre un fourgon pour aller en intervention. Et le Département refuse de faire des nominations comme l'ont fait le Pas-de-Calais et le Val d'Oise. Cela pourrait, à la rigueur, sembler juste si, dans le même temps, les officiers supérieurs n'étaient pas eux proposés pour des nominations. Il y a une dévalorisation du métier, un blocage de carrière et une perte financière allant jusqu'à 800 euros par an».

S'ils doivent maintenir leurs interventions, les sapeurs-pompiers restent «en grève illimitée».

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21 juin 2013 5 21 /06 /juin /2013 10:14

Mobilisation des élus, courriers à la SNCF, organisation d'une réunion publique. Un collectif d'usagers de la SNCF en colère est en constitution à Romilly-sur-Seine. En effet, en raison des perturbations actuelles qui ont lieu sur la ligne, causées par des rappels en maintenance de nombreuses locomotives, une dizaine d'usagers réguliers - pour le moment - ont décidé de se constituer en collectif pour tenter de faire entendre leur voix auprès de la SNCF et des politiques.

Beaucoup d'habitants du secteur de Romilly et de Nogent se rendent quotidiennement à Paris pour travailler. Dans bien des cas, cette ligne est même une des raisons qui ont poussé ces Parisiens, à la recherche d'un cadre de vie meilleur, à venir s'installer dans le département.

Or, en ce moment, les suppressions de train qui touchent la ligne exaspèrent et inquiètent les usagers quant à l'avenir. Le train de 22 h 12 au départ de Paris a disparu des fiches horaires.

«Le problème, c'est qu'il y a des gens qui finissent très tard, comme le personnel hospitalier. Or, on nous a dit qu'il pourrait être supprimé jusqu'en septembre».

«Il faut agir avant que ça ne prenne des proportions trop importantes. Certains envisagent de bloquer les TGV à Paris. Il faut agir avant d'arriver à de telles extrémités».

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7 juin 2013 5 07 /06 /juin /2013 09:23

En fin de matinée, les 140 salariés de Baxi ont décidé de ne pas s'avouer vaincus. Lors d'un vote à main levée, dans la salle du centre socioculturelle de Villeneuve-Saint-Germain, ils ont décidé de suivre l'intersyndicale et de se battre.

Deux options leur ont été présentées par les délégués syndicaux et l'avocate du comité centrale d'entreprise (CCE).

La première : décider de partir avec un chèque, après négociation et finalisation du PSE et valider ainsi le projet de fermeture de l'usine à l'horizon 2014 par le groupe BDR Therméa.

La seconde : lutter, défendre une alternative à cette fermeture avec 90 à 100 emplois sauvés. Présentée dans différents rapports, cette alternative préconise une restructuration et une réorganisation du site, un investissement qui serait absorbé en moins d'une année en terme de trésorerie. Cette solution maintiendrait «encore cinq ans une centaine d'emplois sur le site pour le coût du plan de sauvegarde de l'emploi».

Les salariés ont été prévenus : choisir la seconde option, celle que défend l'intersyndicale, c'est s'engager dans une lutte âpre, longue. À trois exceptions près, l'ensemble des salariés a décidé de sauver le site et, pour le faire savoir, de monter dans les bus, vendredi 14 juin en direction du siège social du Blanc-Mesnil pour soutenir leur élus lors du comité central d'entreprise extraordinaire.

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24 mai 2013 5 24 /05 /mai /2013 09:29

S'ils ne sont qu'une petite dizaine sur 52, ils paralysent toute l'entreprise. Depuis mardi, les employés du secteur découpe et façonnage de Vetrotech Condren sont en grève.

Le petit groupe revendique une hausse de salaire de 2, 5 % (avec une marge de négociation), mais, selon eux, la direction ne souhaite faire aucun effort. En fait, la direction ne souhaiterait pas augmenter une seule partie des salariés. «Elle a proposé 0, 2 % pour tout le monde mais ce n'est pas assez. Y en a marre de suer et de devoir dire à nos enfants à la fin du mois que pour un paquet de gâteaux, il faudra attendre le mois d'après. En plus nous sommes passés de 100 à 200 découpes par jour et par poste, ce qui est énorme. Résultats ? Nous ne sommes pas payés en retour».

Le mouvement est parti spontanément sans l'encouragement des syndicats. Pour ces hommes, aller au bout c'est entamer une grève de la faim dès lundi, à l'intérieur de l'entreprise. «Pour l'instant aucune discussion n'est possible avec la direction. Nous ne reculerons pas et sommes prêts à nous battre. La grève ne sera pas levée».

Pour la direction du site, il est toutefois primordial que les employés reprennent le travail avant tout démarrage de négociations.

Une visite des dirigeants du groupe devrait intervenir aujourd'hui. La situation pourrait peut-être se débloquer. La direction devra visiblement faire un pas vers les salariés, si elle ne veut pas compter parmi ses employés une dizaine de grévistes de la faim lundi matin.

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26 avril 2013 5 26 /04 /avril /2013 20:57

Vendredi en début de soirée, une quarantaine d'ex-salariés retenaient toujours un actionnaire belge de la holding GIMVF, Marc Jacquet.

Une séquestration avec comme décor les locaux de la pépinière d'entreprise de Châlons en Champagne. Les 68 salariés partants pour la création d'une SCOP pour la reprise du fabriquant de papiers peints ne supportent plus l'attente.

Le bras de fer semble avoir payé pour les ex Grantil-Grandeco. Une réunion à la Préfecture de Région était programmée vendredi soir, avec dans la foulée la perspective d'une nouvelle réunion de négociation mardi 30 avril autour du projet de SCOP.  

"Nous avons fait une offre de reprise globale pour la création de notre scop  qui préserve près de 80 emplois il y après de 15 jours et la holding belge qui nous a liquidé ne veut pas nous répondre. Plus le temps passe plus la création de notre scop est compromise car les clients qui nous soutiennent ne vont pas attendre indéfiniment. Nous sommes déterminés à mener cette action jusqu'à ce qu'on nous réponde. Nous avons fait sortir tout le monde sauf l'actionnaire belge, une cadre de Grandéco Wallfashion qui nous sert d'interprète et un commercial que nous allons prochainement libérer".

Début mars, les ex-salariés de Grandéco annonçaient la création d'une scop (société coopérative et participative) qui maintiendrait près de la moitié des effectifs. Grandéco Wallfashion Group, dont l'actionnaire principal est le fond d'investissement privé GIMV côté à la bourse de Bruxelles, a été fondé en juin 2007 à l'issue de la fusion entre l'entreprise belge Ideco et l'usine française Grantil, installée à Châlons-en-Champagne depuis 1870.

Dernière minute ; il a été libéré vers 22 h.

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9 mars 2013 6 09 /03 /mars /2013 11:41

Ardam-20130308.jpgLes salariés d'Electrolux ont décidé de poursuivre leur mobilisation, après la manif « surprise » de la veille et suite à l'annonce du rejet du projet niVer. Ils l'ont répété et répété encore hier matin : «Nous ne lâcherons rien !».

Dès 6 heures, ils ont ainsi commencé à bouger, au sein même de l'usine. Plus de deux cents salariés, réunis autour d'un grand feu régulièrement alimenté par des palettes en bois et des pneus. L'enseigne est taguée : «Voyous, vendus, assassins»

À 9 h 45, l'arrivée de la directrice du site revinois encadrée de trois gardes du corps est huée et applaudie par les salariés, formant une haie d'honneur. Quelques minutes plus tard, le cortège se dirige vers la gare où les salariés en colère ont arrêté symboliquement deux trains : celui de 10 h 31 en direction de Givet et celui de 10 h 46 à destination de Charleville. Puis, vers 11 heures, retour à l'usine.

«S'ils pensaient qu'en faisant leur annonce mercredi au lieu de lundi comme prévu à Bercy, ils allaient démotiver les gens, ils ont eu tort. Maintenant, ils sont encore plus déterminés ! Nous avons été patients depuis le 22 octobre. La fête est finie. Ce n'est qu'un début, maintenant, on ne rigole plus !».

La direction du groupe a décidé de fermer le site revinois, lundi, vu le nombre assez important, semble-t-il, de salariés, accompagnant l'intersyndicale à Bercy (8 bus)?

«Comme ils veulent la fermeture de l'usine, nous, nous voulons qu'ils paient tout le monde et nous, jeunes, nous verrons avec le repreneur et avec des garanties. Il faut qu'ils s'attendent à ce que nous prenions un avocat. Par contre, nous ne voulons pas être repris comme nos voisins d'Oxame, ça, il est hors de question».

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25 janvier 2013 5 25 /01 /janvier /2013 13:02

Greve-Joliot-20130124.jpgÇa ne s'arrange pas au lycée professionnel Joliot-Curie. Après un «droit de retrait» exercé le 11 octobre pour dénoncer le climat délétère au sein de l'établissement, 100 % des personnels ont observeré une journée de grève ce jeudi 24 janvier.

Harcèlement, humiliation, intimidation, les profs du lycée Joliot-Curie demandent le départ de la proviseure.

Cette proviseure, titulaire d’un DEA de sociologie de l’éducation et d’un CAPET d’économie gestion, a été proviseur-adjoint au lycée Libergier de 1998 à 2001, principale au collège du Vieux-Port à Vitry-le-François et au collège de Colombey-les-deux-Eglises et ensuite à la direction du lycée polyvalent Philippe-Lebon, à Joinville.

Courant septembre, les élus alertent le recteur sur la situation rencontrée avec leur proviseure depuis la rentrée. Le 10 octobre 2012, suite à une bagarre a éclaté entre quatre élèves en plein cours, les enseignants décident d'exercer leur droit de retrait l'après-midi. Le recteur prend alors position en faveur des enseignants.

Hier, 100 % des enseignants était en grève.  "Les conditions de travail matérielles et surtout psychologiques, se sont totalement dégradées depuis la rentrée de septembre 2012 et ne permettent plus aux enseignants et aux membres de l’équipe éducative de travailler sereinement".

Ils dénoncent des "méthodes imposées sans cohérence avec le fonctionnement de l’établissement, des propos inadmissibles tenus dès la pré-rentrée, des pressions importantes exercées sur certains collègues, amènent des souffrances au travail qui s’expriment quotidiennement".

Les représentants des élus rappellent avoir alerté le recteur à l'occasion de deux courriers, d'une audience au rectorat et d'une enquête administrative, entre fin septembre et début janvier.

«Cinq mois après la rentrée, toujours rien de concret, aucune mesure n'a été prise, ce qui fait qu'aujourd'hui, le mal est trop important. Les enseignants souhaitent donc alerter l'opinion publique et particulièrement les parents d'élèves, que la scolarité de leurs enfants est mise en péril par ce type de fonctionnement».

Le recteur confirme bien qu'une enquête administrative a bien été engagée pour comprendre à partir de faits précis les difficultés relationnelles pouvant exister entre ces adultes. «Je vais recevoir le compte rendu et après une réunion avec le directeur départemental de l'Éducation nationale, nous verrons quelle suite nous donnerons à cette affaire». Et de préciser en direction des familles de l'établissement que «les difficultés que les uns et les autres rencontrent à Joliot-Curie ne transparaissent pas sur l'enseignement dispensé aux élèves. Ce qui est à l'honneur de tous».

Cette proviseure,  ancien officier de réserve, est présidente d’honneur de l’association régionale de l’Institut des Hautes Etudes de la Défense Nationale (IHEDN). Elle a été décorée «Chevalier de la Légion d’honneur» en 2005 et «Chevalier de l'ordre du mérite» en 2006.

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15 janvier 2013 2 15 /01 /janvier /2013 17:01

Environ 150 élèves du lycée de Bazeilles ont à nouveau manifesté, hier, d'abord devant leur établissement, puis dans les rues de Sedan, afin de protester contre le projet de transfert des filières d'enseignement générales vers le lycée Pierre-Bayle.

L'annonce de ce projet de transfert remonte à janvier 2012. Plusieurs manifestations avaient été aussitôt organisées afin de protester contre cette réorganisation jugée par les élèves comme «incohérente».

Ce transfert, qui, au départ devait se faire par étapes dès la rentrée 2012, avait finalement été différé à la suite d'une intervention, auprès du rectorat, par le député Jean-Luc Warsmann.

Toutefois, les jeunes manifestants semblent persuadés que ce n'est là que partie remise.

Une nouvelle manifestation, organisée cette fois par les parents d'élèves, aura lieu ce samedi 19 janvier.

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20 décembre 2012 4 20 /12 /décembre /2012 18:19

Les salariés de la Maroquinerie des Ardennes ont repris le travail ce jeudi matin. Un protocole d'accord de sortie de grève est en cours d'écriture.

ls ont obtenu : une hausse de salaire de 41 euros brut/mois, une prime mensuelle de 10 euros brut/mois, une prime individuelle d'environ 30 euros (varie selon les salariés)

Depuis mardi matin, une centaine de salariés étaient massés devant l'usine ardennaise, en faisant brûler des pneus. Cette grève déclenchée de manière spontanée portait sur les augmentations de salaires.

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19 décembre 2012 3 19 /12 /décembre /2012 22:32

Deuxième jour de conflit chez Hermès. La direction semble jouer l’usure alors que les revendications ont été revues à la baisse.

Les salariés demandent à la direction une hausse générale des salaires de 60 euros brut par mois. Les négociations sont dures. Les employées, en majorité des femmes, sont décidées à continuer le mouvement.

Déjà des signes de tension entre grévistes et non-grévistes, notamment quand les salariés qui ont effectué normalement leur journée de travail sont sortis hier vers 16 heures sous les quolibets.

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16 décembre 2012 7 16 /12 /décembre /2012 12:09

Nantes-20121215.jpgCyril s’est fait condamner à 5 mois ferme en comparution immédiate fin novembre après s’être fait arrêter sur la zad par des gendarmes infiltrés sur une barricade.

Pour lui écrire : Comite de soutien aux inculpees «le gue» 44220 coueron.

Vous pouvez aussi soutenir Cyril financièrement en envoyant un chèque à la meme adresse. Merci pour lui.

Mes chers camarades,

Un très grand merci pour votre soutien et celui des autres camarades zadistes. Pas une journée ne se passe sans que je pense à vous tous. Merci pour ces infos non muselées que tu m’apportes, cela renforce encore plus mes convictions déjà fortes et ne me désespère pas pour notre cause qui est juste, elle. Nous ne sommes peut-etre qu’une épine dans le pied de ce gouvernement mais elle est assez profonde pour qu’il puisse la retirer. Remplie d’un venin qui se mourit d’amour et de solidarité, elle envenime ceux qui sont pour la destruction, la repression violente et les constructions capitalistes inutiles pour une population pacifiste mais resistante qui ne demande que de vivre en paix et en harmonie avec la mère nature. Ils ne sont pas à leur premier coup d’essai. Mais la resistance est toujours là. Nous faisons partie de la nouvelle et de l’ancienne génération qui lutte depuis tant d’années contre ces multiples projets inutiles. Ils depassent les bornes. Ces souffrances qu’ils infligent à nous et à la mère nature sont malheureusement irreversibles et nous ne les oublieront jamais. Qui sont-ils pour penser que la valeur de l’argent est plus importante que celle de l’être humain et de son environnement. Pour moi c’est un devoir envers les miens de crier mon opposition à tout celà. La destruction massive de notre mère la terre doit cesser car les conséquences en sont désastreuses. Que laisserons-nous à nos enfants ? Une chose est sûre, nous ne sommes pas des lâches. Nous nous battons pour des valeurs sûres, justes et ils en seront fiers. L’Etat ne peut en dire autant, car il en est pas à sa première erreur. Mes grands parents et mon père ont subis les memes erreurs à un’échelle differente et leur etait reproché à l’epoque le simple fait d’etre juifs et de vouloir protéger cette terre qui est la nôtre. Refusant de partir de leur terre pendant la guerre, ils en ont payé le prix fort. Fusillés par les collabos de l’époque devant mon père qui n’avait que 5 ans. Certaines choses ont changés mais le gouvernement lâche et hypocrite reste ferme devant les cris et les pleurs de ses enfants qu’il dit capricieux. Je pense que le caprice vient d’eux et que la Raison vient de notre passion et de notre amour pour ces nombreuses causes justes et défendables. Ils ne l’entendent pas de même et nous poussent dans l’illegalité et la rébellion. Ma peine est celle d’un être humain qui ne se soumet pas. Comme la vôtre. Faut-il pourtant subir ? Ma réponse est Non. Nous ne lâcherons rien. Car peu importe le temps , ce qui compte ce sont les messages et le résultat ainsi que les erreurs flagrantes que le peuple voit. Ne changez rien, reste comme vous êtes, libres ! Mes bottes me manquent, vous me manquez camarades et ami-e-s et je continue la lutte d’une autre manière. Grace à vous j’ai assez de contacts à l’exterieur pour me faire entendre. Cela fait plus de dix ans que je me bas pour differents causes. Je suis originaire de cette région et je le resterais malgré mon interdiction de séjourner dans le 44 pendant 2 ans. Sauf Avessac où j’ai acheté un petit corps de ferme que je rénove pour tous ceux qui aiment la nature et la liberté. Je suis tailleur de pierre et cela me plait. Ma lutte se fait aussi dans la musique depuis 12 années et passera ces messages grace à l’aide exterieure, étant à l’heure actuelle prisonnier. Je suis sur le projet d’un nouveau CD destiné à notre cause. Car il me semble nécessaire de faire passer ces messages. Je vous fais donc part du premier jet de la première chanson que je vous offre en espèrant votre participation future d’une verité qu’on nous demande de cacher. J’aimerais si possible que cette lettre ainsi que cette chanson soient mises sur Indymedia. Merci. Je compte sur vous et vous remercie tous pour le soutient que vous m’apportez et surtout pour cette cause juste. La terre de nos parents est la future terre de nos enfants, ne l’oublions pas. V.D.R et S

Je vous embrasse,

Cyril n°ecrou 57360 prison de Nantes

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