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1 mars 2013 5 01 /03 /mars /2013 10:32

La décision des Prud'hommes est tombée hier. Sophie, qui contestait son licenciement et demandait sa réintégration au sein du personnel des résidences pour personnes âgées Arfo, a obtenu gain de cause .

Hôtesse aide à vivre, elle avait été mise à la porte pour déloyauté envers son employeur après avoir dénoncé le comportement irrespectueux de sa directrice envers les résidents de la maison Lucien-Doyen à Croix-Rouge.

Elle retrouvera son poste dans un délai de deux semaines à compter de la notification du jugement.

Le harcèlement moral subi par l'employée a aussi été reconnu et l'Arfo a été condamnée sur plusieurs points relatifs aux conditions de travail : «Notamment le régime des astreintes, les repos dominicaux, les temps de pause… J'espère que cette décision va contribuer à faire bouger les choses pour l'ensemble des salariés».

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1 mars 2013 5 01 /03 /mars /2013 10:23

Le différend qui, depuis vendredi à propos de la répartition de jours de congés, opposait les agents du Technicentre de Picardie à leur Direction, est résolu mais le climat de l'établissement n'y a pas gagné en sérénité.

Au terme d'une longue séance de négociation mardi entre les représentants de la Direction et du personnel, les agents pourront en l'occurrence disposer des dix jours de repos qui constituaient la pierre d'achoppement sous forme de pont les 10 mai et 16 août, et le reste à leur disposition.

Ces dix jours de repos représentent la part de congés à disposition des agents sur les dix huit jours annuels supplémentaires consécutifs à la mise en œuvre de la réduction du temps de travail.

«Nous n'en avons pas fini avec eux. Vous avez vu leur comportement à la grille de l'établissement lundi matin ?… Eh bien ils se sont comportés de la même façon mardi toute la journée. Nous ne manquerons pas d'aborder ce sujet lundi matin lors de l'heure d'informations syndicales».

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28 février 2013 4 28 /02 /février /2013 11:28

La date fatidique du 28 février signe, pour les 162 salariés de Grandeco, la cessation d'activité mais marque également les prémices d'un espoir avec une éventuelle création de Scop (Société coopérative et participative) qui reprendrait une partie du personnel.

«On a réussi à présenter un business plan viable, nous sommes optimistes, mais réalistes. Le projet de Scop a des chances d'aboutir, mais il reste encore des obstacles à surmonter. On reste mobilisés et confiants même si la situation est difficile».

Si la Scop voit le jour, 2013 devrait être une année plutôt mouvementée pour les salariés qui continuent de lutter afin de récupérer les droits de certaines marques qui appartiennent toujours à la holding belge.

Le liquidateur fermera les portes de l'entreprise aujourd'hui dans l'attente de la présentation du projet de reprise.

Un CE extraordinaire doit se tenir dans les jours qui suivent la cessation et une réunion avec les banques est prévue le 7 mars prochain.

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28 février 2013 4 28 /02 /février /2013 11:18

L'affaire remonte à 2009. Le 26 mars, la société Volets de France est placée en redressement par le tribunal de commerce de Sedan. Le 5 novembre, le même tribunal prononce la liquidation judiciaire. Le 18 novembre, le mandataire liquidateur procède au licenciement économique des 48 salariés.

Cependant, le 17 décembre, un plan de cession (concernant une partie de l'activité) est arrêté au profit de la société Jeantils Gillet, qui ne reprend «que» 23 salariés. C'est pourquoi les salariés non repris saisirent les prud'hommes. Dans son jugement rendu mardi, la juridiction a annulé les licenciements, qualifiés de «sans cause réelle et sérieuse», et accordé à chacun des indemnisations allant de 9 000 à 48 000 euros, en fonction de l'ancienneté des demandeurs.

Elle a estimé que le plan de cession de la société mise en règlement aurait dû prévoir le nombre de licenciements avant la cession. En revanche, «il ne peut prévoir le licenciement de tous les salariés et la reprise ultérieure de certains d'entre eux seulement». De surcroît, «le transfert d'une entité entraîne de plein droit le maintien des contrats de travail».

Si la juridiction a ordonné l'exécution du jugement (donc le paiement des dommages et intérêts et arriérés de salaires), mandataire liquidateur et AGS (qui se substituent à l'employeur défaillant) sont évidemment susceptibles de faire appel.

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28 février 2013 4 28 /02 /février /2013 10:58

La Société nogentaise de blanchisserie, en difficulté financière, a décidé de déposer le bilan.

En mars 2012, celle-ci avait déjà procédé au licenciement économique de quatre personne. «Il y a eu neuf départs volontaires à l'atelier en décembre». Des départs qui n'ont visiblement pas suffi à redresser la situation.

Aujourd'hui, il reste un peu plus d'une quarantaine de salariés dans l'entreprise. Des salariés qui attendent la suite en fonction de la décision du tribunal. «Depuis quelques mois, la situation se dégrade. L'inquiétude est toujours là mais elle est amplifiée».

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28 février 2013 4 28 /02 /février /2013 10:07

Technicentre-de-Tergnier.jpg«Une broutille». C'est le qualificatif initialement employé par l'adjoint au directeur du Technicentre de Picardie pour justifier l'origine du mouvement social qui, depuis plusieurs jours, conduit une centaine d'agents à bloquer durant plusieurs heures l'accès principal de l'établissement.

La mise en œuvre de la réduction du temps de travail s'était soldée en son temps par l'octroi de dix-huit jours de congés supplémentaires par an, dont huit fixés par la direction et dix au choix des agents or la direction s'est mise en tête de modifier les conditions d'accès à cette dizaine de jours initialement au choix.
Derrière «la broutille» se profile une tentative de remise en cause des accords initiaux sur la RTT au nom de la maîtrise des charges de fonctionnement.

Le sujet en l'occurrence, avait été abordé en réunion du comité d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail, lequel avait dégagé trois pistes que la direction a ensuite soumises à référendum selon des termes dans lesquels les délégués du CHSCT ne reconnaissent pas leurs propositions. «Malgré cela, les agents ont repoussé à 51 % les propositions de la direction».

La dernière proposition de la direction porte sur le maintien de l'activité de l'établissement durant la dernière semaine de l'année avec au moins 50 % des agents en poste, alors qu'elle voulait la fermeture de l'établissement durant la dernière semaine de l'année !

«Non réglementaire !» répondent les agents.

Le Technicentre de Tergnier se partage avec celui de Nîmes la maintenance nationale des wagons fret et emploie 450 salariés.

Pour info, «Une broutille» est le terme utilisé par l'adjoint au directeur du Technicentre de Picardie lorsqu'un journaliste de l'Aisne nouvelle lui a demandé «que se passe t-il donc ici ?». Il croyait accueillir l'huissier auquel il s'empressa de demander s'il devait «noter les noms de chacun des agents».

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27 février 2013 3 27 /02 /février /2013 10:39

Pole EmploiLe nombre de demandeurs d’emploi inscrits à Pôle emploi de catégorie A s’établit à 69 308 en Champagne-Ardenne, fin janvier 2013. Ce nombre est en hausse de 1,0 % par rapport à la fin décembre 2012 (+ 713). Sur un an , il croît de + 14,4 % . Si l'on ajoute les demandeurs d'emploi de catégorie B et C, la hausse est de 1,3 % en France, 1,6 % dans la région. Le nombre de demandeurs d'emploi de catégorie A augmente de 0,4 % pour les hommes (+ 15,8 % sur un an) et augmente de 1,7 % pour les femmes (+ 12,8 % sur un an). Le nombre de demandeurs d'emploi de catégorie A de moins de 25 ans augmente de 0,6 % (+ 14,5 % sur un an). Le nombre de ceux âgés de 25 à 49 ans augmente de 1,0 % (+ 12,8 % sur un an) et le nombre de ceux âgés de 50 ans et plus augmente de 1,6 % (+ 19,0 % sur un an).

Le ministère du Travail et Pôle emploi avaient prévenu que les statistiques du chômage de janvier seraient alourdies en raison d'une réforme des règles qui régissent les radiations et de la réactualisation des coefficients de correction des variations saisonnières. En Champagne-Ardenne, ce phénomène aurait un «impact de 360 inscrits supplémentaires sur les 713 comptabilisés en un mois pour la catégorie A et de 418 personnes en catégories A, B et C sur les 1 595 enregistrées en janvier».Nombre-de-demandeurs-d_emploi-en-Champagne-Ardenne-janvier-.jpg

Par département, le nombre de demandeurs d’emploi de catégorie A varie de - 0,6 % à + 2,2 % en janvier 2013 par rapport à fin décembre : Aube (+ 2,2 %), soit 16 831 chômeurs, soit 368 chômeurs de plus qu'en décembre ; Ardennes (+ 1,3 %), soit 16 297 chômeurs ; Marne (+ 0,7 %), soit 27 737 chômeurs ; Haute-Marne (- 0,6 %), soit 8 443 chômeurs.

Le chômage poursuit son inexorable hausse dans l'Aube : après une augmentation de +1 % en décembre, c'est une poussée plus forte encore qui a marqué le mois de janvier : + 2,2 % selon les chiffres fournis hier soir par la direction régionale de Pôle emploi Champagne-Ardenne. Il s'agit d'un mauvais chiffre, le plus mauvais de la Champagne-Ardenne. Cette nouvelle hausse du chômage touche encore une fois en particulier les moins de 25 ans (+2,7 %), les plus de 50 ans (+1,6 %) et les femmes (+3,4 %). En glissement annuel, les chiffres sont également implacables : le chômage aubois a augmenté ainsi de 14,4 % par rapport à janvier 2012. Et si l'on prend en compte le nombre total de chômeurs (catégories A, B et C), la situation est encore plus inquiétante avec pas moins de 24 804 demandeurs d'emploi dans l'Aube, fin janvier, en augmentation de 2,1 % sur le mois et de 12,3 % sur l'année. Autre signe de dégradation profonde du marché de l'emploi, le nombre de chômeurs longue durée : ils sont désormais 9 560 demandeurs d'emploi, toutes catégories confondues, à être au chômage depuis plus d'un an.

Sans surprise, dans les Ardennes, sur le front du chômage, 2013 aura donc débuté comme 2012 s'était achevée, avec sur le plan national une hausse de 1,4 % à la fin janvier (par rapport à fin décembre) du nombre de demandeurs d'emploi de catégorie A (sans aucune activité même partielle). La hausse est de 1 point seulement dans la région, mais de 1,3 % dans les Ardennes. C'est-à-dire encore et surtout 16 297 personnes. Sur un an, dans le département, l'évolution est de 12,3 % (contre 10,7 % «seulement» en France métropolitaine). Si l'on ajoute les demandeurs d'emploi de catégorie B et C, la hausse est de 2,1 % dans les Ardennes ! Soit un total de 23 330 demandeurs, selon le baromètre mensuel publié hier soir par Pôle emploi et la Direction régionale du travail. Dans le même temps, l'Insee rendait publics les chiffres du chômage (détaillés) au 31 décembre : on dénombrait alors dans le département 23 165 demandeurs d'emploi (toutes catégories confondues) dont 18,6 % de moins de 25 ans, 47,8 % de femmes et 43,8 % demandeurs inscrits depuis plus d'un an (dits de longue durée). A comparer avec les statistiques de métropole (17 % seulement (entre guillemets) de moins de 25 ans, 50,4 % de femmes et 39,1 % de longue durée.

Le chômage le plus dur s'inscrit à 27 737 personnes recensées dans la Marne à fin janvier en catégorie A, en progression de 0,7 % en un mois, soit +15 % sur un an (3 623 personnes supplémentaires). Néanmoins, le triste record absolu, qui date de septembre 1996 avec 30 883 inscrits dans le département, tient toujours. Ce n'est pas le cas si l'on mesure la précarité de l'emploi, soit, selon les dénominations officielles, les personnes inscrites en catégories A, B et C. Là, comme le mois dernier, c'est encore un plus haut niveau qui est atteint à fin janvier dans la Marne avec 43 012 inscrits (+1,1 % en un mois, une augmentation de 12,5 % en un an). Jamais, depuis que ces critères de classification sont utilisés, soit janvier 1996, le département n'avait compté autant de personnes dans la précarité face à l'emploi. Si la Marne, contrairement à la France dans son ensemble, n'enregistre pas un 21e mois consécutif d'augmentation du chômage en raison des variations induites par l'effet vendanges en août-septembre chaque année, le département subit les mêmes faits marquants. Les chômeurs de longue durée (inscrits depuis plus d'un an) demeurent toujours aussi nombreux, augmentant même plus fortement que les autres (+1,4 % en janvier, +15,9 % sur un an) dans le département. Ce phénomène s'accompagne aussi d'une explosion du nombre d'inscrits à Pôle emploi qui sont bénéficiaires du RSA : 7 309 dans la Marne, soit 17,1 % de plus que voilà un an (+14 % au niveau national).

La hausse est plus limitée dans le département de l'Aisne, mais c'est tout de même une hausse : + 0,3 % comparé au mois dernier, et une hausse de + 7,7 % par rapport à janvier 2012. Le département compte 35 007 demandeurs d’emploi inscrits en catégorie A à Pôle emploi.

En Picardie, les évolutions mensuelles et annuelles suivent la même tendance mais de manière plus prononcée : + 0,6 % mensuellement et + 9,3 % ces douze derniers mois.

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26 février 2013 2 26 /02 /février /2013 13:51

Ex-employée du Sissad (Syndicat intercommunal de services et de soins à domicile), Thérèse ne  cache pas son ras-le-bol. Licenciée en juillet 2012, elle attend de toucher une allocation de retour à l'emploi (ARE).

En mai 2012, elle crée avec des collègues une section CFDT, dont elle devient la responsable. Les autres employées gardent l'anonymat. En juillet, elle est licenciée pour «motif disciplinaire».

Si elle conteste son licenciement devant le tribunal administratif - procédure en cours -, son combat actuel porte sur «un droit d'allocation», qu'elle ne perçoit toujours pas. Pour son ancienne direction, le dossier reste incomplet.

Elle s'est d'abord tournée vers Pôle emploi, en septembre 2012. En novembre, l'établissement public lui indique que ce n'est pas de son ressort. C'est le Centre de gestion de Chauny qui verse l'ARE - s'agissant de la fonction publique. Mais le dossier doit passer par le Sissad.

Elle fait donc sa demande à son ancien employeur. Ce dernier lui indique par deux courriers successifs ce mois-ci, qu'il manque des pièces au dossier et qu'il va consulter Pôle emploi.

Selon la CFDT, «Interrogé par nos soins, Pôle emploi a bien confirmé que le dossier était à jour depuis novembre». «Pour l'instant, j'ai pas eu cette réponse-là du Pôle emploi», assure pour sa part le directeur du Sissad.

«Pendant ce temps-là, il faut vivre avec 400 euros par mois. On m'a coupé le téléphone !» Et une menace pèse désormais sur l'électricité.

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26 février 2013 2 26 /02 /février /2013 13:38

«Rien qu'en 2013, nous avons inscrit 223 familles, soit 663 personnes. Parmi elles, 65 nouvelles familles» déclare le président du Secours populaire d'Epernay.

Avec des chiffres qui font froid dans le dos : «57 familles vivent avec moins de 1 € par jour, 36 avec moins de 5 € et 32 avec moins de 7 €».

«Vous savez, ce n'est pas avec une distribution hebdomadaire chez nous qu'une famille peut manger convenablement. Notre association ne représente qu'un complément ».

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26 février 2013 2 26 /02 /février /2013 13:26

«Les salariés Henkel de Châlons ont été victimes de trahison. Le groupe lessivier allemand a… lessivé 62 personnes qui ne demandaient qu'une chose : bosser».

La fermeture de cette unité de production spécialisée dans les adhésifs a marqué durablement les esprits. Elle avait déclenché, en 2009, un mouvement de colère des 62 salariés licenciés. Parmi eux, 43 avaient lancé une action en justice afin de contester leur licenciement pour raison économique.

Mais en 2011, le conseil de prud'hommes de Châlons-en-Champagne les avait déboutés. Ils ont donc fait appel de cette décision. Le 30 janvier dernier, la cour d'appel de Reims a finalement rendu un arrêt dans lequel elle reconnaît que les licenciements effectués étaient «sans cause réelle et sérieuse» et juge que la SAS Henkel Technologies France «a violé les critères d'ordre de licenciement». La société est donc condamnée à verser des dommages et intérêts à ses anciens employés. Selon les cas, cela représente 8 à 12 mois de salaire pour chacun.

«Au moment de la fermeture, en août 2009, nous étions 24 licenciés à être âgés de plus de 50 ans, en août 2012, 22 d'entre nous n'avaient toujours pas retrouvé de CDI».

Henkel a encore la possibilité de se pourvoir en cassation.

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26 février 2013 2 26 /02 /février /2013 13:04

Transcom-20130225.jpgLe compte à rebours est lancé pour les Transcom. Alors que le groupe Transcom Worldwide a décidé, en fin d'année, de cesser de soutenir sa filiale Transcom France après le 28 février, les salariés soissonnais ne désarment pas.

Après la manifestation organisée au siège social de Transcom France, le 12 février, à Vélizy dans les Yvelines, l'invitation à rester et à donner des réponses sur leur avenir, faite à leur directeur le 14 février sur le site du parc Gouraud, ils se sont à nouveau mobilisés, hier, en investissant France Telecom à Soissons.

Pour l'heure, les salaires ne sont plus garantis après le 28 février. Aucun repreneur crédible n'a été trouvé malgré les recherches actives des salariés eux-mêmes et par la communauté d'agglomération du Soissonnais.

Une audience du tribunal de commerce de Versailles est prévue le 7 mars pour sceller le sort de Transcom France et de ses 500 salariés (dont une centaine de Soissonnais).

Ils attendent avec «impatience et inquiétude» la date du 7 mars. Entre-temps, le 28 février, une réunion entre Transcom et le ministère du Redressement productif devrait se tenir.

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26 février 2013 2 26 /02 /février /2013 12:59

La crise fait des ravages, l'emploi trinque, et Pôle emploi est souvent montré du doigt.

Demain mercredi, une manifestation est prévue entre 10 et 15 heures devant l'agence de la rue de Saint-Brice, à l'initiative du collectif des chômeurs et des précaires de la CGT.

«Nous voulons dénoncer les méthodes de Pôle emploi. Nous sensibiliserons le public au sujet de la recrudescence des radiations et des sanctions prises par Pôle emploi. Nous voulons aussi dénoncer le fait que nombre d'annonces mises à la disponibilité des chômeurs par l'agence relèvent purement et simplement de l'illégalité».

Des distributions de tracts et des perturbations sont à prévoir lors de la manifestation devant l'agence.

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