Le plan de réorganisation annoncé par la direction de Sandvik à Chauny, début novembre, prévoit la suppression de 31 emplois (sur un total de 39) au lieu de 33 au départ.
Actuellement en pleine négociation avec leur direction, les représentants du personnel ont formulé leur proposition concernant la prime supra légale (ou prime du licenciement).
Le délégué syndical annonce un minimum de 75 000 €. Mais, en fait, «la base de négociation est plus élevée puisqu’on demande 100000 €». D’autre part, les partenaires sociaux souhaitent obtenir 24 mois de reclassement et 80 % de leur salaire brut. «Cela nous semble acceptable puisque le groupe Sandvik est plus grand que Nexans ou Arkema».
La prochaine réunion de négociation est prévue le 4 février.