Mis à part la période des fêtes, on constate une baisse de la quantité de déchets qui peut s'analyser de plusieurs façons.
Avec la crise, «les gens modifient leur façon de consommer. Ils privilégient le naturel. Ils refont du jardin. Cela produit moins de déchets».
Mais cela augmente le coût à la tonne des ordures ménagères résiduelles, car les camions font toujours du porte-à-porte pour un tonnage moins important.
La deuxième bonne nouvelle, c'est que l'on progresse dans le taux de recyclage et de valorisation. Il y a aussi moins d'emballages depuis quelque temps. Et la diminution est spectaculaire. En quelques années, la collecte a baissé d'une soixantaine de kilos par an et par habitant.
D'après des données du SIRTOM du laonnois