Revalorisation des salariés, reconnaissance du travail des salariés, situation de pression forte avec des risques d'impact sur la santé mentale de l'employé, évaluation des risques psychiques sur les méthodes employées par l'entreprise (cadence, procédures), pas de sanction aux grévistes, c'est aussi un droit d'expression, revoir les contrats proposés aux nouveaux embauchés, revoir les primes à la hausse et non à la perte…
Pendant six jours (week-end, avec astreinte compris), 100 % des techniciens - soit 13 personnes - de cette filiale de GDF-Suez ont fait grève.
Le conflit n'a pas abouti de manière positive pour les salariés. «Les précédentes hausses de salaires de 1 % n'ont pas accompagné l'inflation. Cette année, nous réclamions 5 %.» Demandes qui ont été rejetées.